lundi 22 mars 2010

Le triangle de bermudes



La mer est apparue il y a environ 4,5 milliards d’années. Elle a été le berceau de la vie et l’élément qui a permit l’apparition et le développement de toute vie sur Terre.
Pourtant, l’océan est la dernière région inexplorée du globe.
Nous ne commençons à percevoir les phénomènes physiques qui se produisent au fond des mers que depuis quelques décennies.
Le mystère du triangle des Bermudes fait justement partie de ces phénomènes naturels. Depuis des siècles, ce triangle maudit est le théâtre d’accidents qui se produisent régulièrement et continuent encore aujourd’hui.
C’est grâce au progrès technologique que nous pouvons avancer des hypothèses fiables sur ces mystérieuses disparitions d’avions et de navires.


Disparitions au cours du 20ème siècle

Au cours du 20ème siècle, on a enregistré près de 100 disparitions à l’intérieur du triangle des Bermudes qui est délimité par la péninsule de Floride, Puerto Rico et l’archipel des Bermudes.
Il faut signaler que des accidents se produisent également dans les zones avoisinantes et dans une dizaine de zones maritimes à travers le monde.

Deux disparitions permettent d’aboutir à une solution scientifique.

En 1961, l’Albatross, un voilier école, sombra subitement au large de la Floride emportant avec lui 6 des 19 membres d’équipage.
D’après les survivants, le voilier a été pris dans une tempête d’une incroyable violence. En soi, ce phénomène n’a rien d’extraordinaire.
Mais, ce qui l’est plus, c’est que le temps était beau ce jour là. Le voilier avançait sur une mer calme quand subitement un coup de vent violent le renversa.
Cela dura quelques minutes puis la mer redevint calme et lisse. Les marins ont surnommé ce phénomène imprévisible « le grain blanc ».
L'Albatross avant la tragédie

Le 5 décembre 1945, une disparition inexpliquée se produisit. Cinq avions de l’aéronavale américaine partent de la Floride et disparaissent sans laisser de trace.
La marine envoie alors un avion de sauvetage qui explose en plein vol.
L’enquête ne permit pas de retrouver les débris de cet appareil. Si, d’après les témoins, cet avion a explosé, il ne peut pas s’agir d’une rafale violente.

Le mystère du grain blanc

Le mystère du grain blanc est sur le point d’être résolu suite au crash d’un avion en 1975. Ce jour là, une rafale descendante se produisit juste au moment où l’avion survolait l’aéroport. Elle entraîna une violente turbulence atmosphérique.
Quelques secondes plus tard, l’avion s’écrasait.

On appelle ce vent violent « rafale descendante ». C’est en fait une véritable avalanche d’air qui tombe d’un coup d’un nuage.
Le vent qui peut être supérieur à 300 km/h souffle avec une violence destructrice. Le phénomène ne dure jamais plus de quelques minutes et ressemble beaucoup au grain blanc décrit par les marins.
L’étude a abouti sur la preuve que ce phénomène se produit aussi en mer.Un accident qui dévoile la vérité

Si les rafales descendantes peuvent faire chavirer n’importe quel navire, même les plus gros, elles ne peuvent pas provoquer une explosion.
Curieusement, c’est un accident sur une station de forage pétrolière qui permit d’établir une hypothèse assez fiable.

Lors d’un forage, une explosion eut lieu et un incendie ravagea la station. On se rendit compte que d’importantes quantités de méthane échappées du sous-sol marin étaient remontées à la surface pour s’enflammer.
Tout ce gaz qui remonte en bouillonnant peut sans problème renverser une plate forme pétrolière.

Scénario d’une tragédie

D’après les scientifiques, voilà le scénario qui a aboutit à la disparition des avions:

Dans le plateau continental, à plus de 500 m de profondeur, à une température inférieure à 5°C, l’hydrate de méthane reste stable
Quand le fond des mers se fragmente sous l’effet d’un séisme par exemple, d’importantes quantités de méthane s’échappent
L’hydrate de méthane remonte à la surface de l’eau en bouillonnant
Un bateau peut se retrouver prisonnier de cette mer en ébullition. Il perd sa flottabilité et coule.

Quand ces importants volumes de méthane atteignent la surface de l’eau, le gaz, plus léger que l’air, monte dans l’atmosphère.
Quand le moteur de l’avion entre en contact avec le méthane, le gaz s’enflamme et l’appareil explose.

La vérité n’est pas ailleurs

Si le mystère du triangle des Bermudes continue à fasciner, il faut admettre que toutes ces disparitions n’ont aucun rapport avec des phénomènes paranormaux ou mystérieux.

Même si aujourd’hui, la science ne peut pas tout prouver, faute de preuves tangibles (le gaz ne laisse aucune trace), les phénomènes atmosphériques que l’on commence tout juste à comprendre en sont certainement la cause.
Les perturbations magnétiques que l'on a constaté dans cette zone expliquent les perturbations et pannes des instruments.

Les phénomènes naturels (Ouragans, tempêtes et trombes marines notamment) expliquent la plupart des naufrages et disparitions de navires.

Cependant, certains faits relatifs à des apparitions et à des distorsions du temps continuent à intriguer. (voir dossier complémentaire)

V.Battaglia (02.2004) M.à.J 01.09.2005

mardi 28 avril 2009

samedi 8 novembre 2008

mercredi 5 novembre 2008

OBAMA THE GRAET HERO


Barack Obama a surpris en remportant le caucus démocrates de l'Iowa, ce samedi. Mais face à Hillary Clinton, perçue comme trop opportuniste par beaucoup, le jeune sénateur de l'Illinois a-t-il l'étoffe d'un gagnant?

Il en faut beaucoup pour abattre Bill Clinton, ce rescapé souriant de nombreux coups bas politiciens. Mais le jeudi 3 janvier, à l’annonce de la défaite humiliante de sa femme, Hillary, aux premières primaires de l’Iowa, la mine livide et dévastée de l’ex-président américain révélait l’ampleur de la catastrophe.

En regardant chanceler si tôt une candidature réputée inévitable par toute la machine du Parti démocrate, sous les coups d’un charmant nouveau venu de 46 ans nommé Barack Obama, élu en 2004 sénateur de l’Illinois, Bill détectait plus qu’un incident de parcours: une profonde quête de renouveau de l’opinion américaine.


Hillary Clinton: trop opportuniste
Les Clinton connaissent bien le phénomène. Il y a seize ans, en 1992, le jeune gouverneur de l’Arkansas d’alors avait remporté les primaires, puis le pouvoir, aux côtés de Hillary, grâce à un semblable désir de changement. Son mince pedigree ne l’avait pas empêché d’évincer George Bush père, homme d’Etat aguerri. L’histoire se venge. Le jeudi 3 janvier, les électeurs de l’Iowa ont refusé de lui accorder une postérité par le biais de son épouse, perçue comme calculatrice, carriériste et opportuniste.


En début de semaine, avant le vote du New Hampshire, ce mardi, les files d’attente interminables, malgré le froid polaire, à l’entrée des meetings d’Obama semblaient annoncer d’autres camouflets pour Hillary Clinton: une nouvelle défaite cinglante ou, au mieux, un coude à coude dangereux avant les primaires massives du "Super Tuesday", le 5 février.


"Elle a tout misé sur sa capacité à bien gouverner et à provoquer le changement par de judicieuses réformes, souligne Hank Sheinkopf, consultant politique. Mais les Américains, dans les deux partis, aspirent à découvrir de nouveaux visages. Frais et authentiques... " Le soir du scrutin dans l’Iowa, a contrario, Hillary, 60 ans, apparaissait devant les caméras de télévision entourée de son mari et de l’ancienne secrétaire d’Etat de l’ère Clinton, une Madeleine Albright épuisée, sur fond de supporters grisonnants.

Barack Obama: une cure de jouvence politique
Barack Obama, lui, longiligne et félin, gravissait au même moment une autre scène au bras de Michelle, sa ravissante épouse, en robe moulante bleue, précédée de leurs deux jeunes enfants. Un tableau minutieusement campé pour convoquer les mythologies de l’ère Kennedy et promettre une cure de jouvence politique à une nation aussi lasse du cynisme chenu de la Maison-Blanche des Bush que rétive à un "remake" des années Clinton.

Le choc des symboles explique largement le verdict sévère des premières primaires. Dans l’Iowa, seuls les démocrates de plus de 45 ans ont voté en majorité pour la sénatrice de New York. Plus de 85 % des moins de 30 ans ont choisi Obama. Ce raz de marée, accompagné d’une participation record des jeunes adultes, s’explique par le discours et le style d’un candidat capable d’entonner : "Nous allons soigner l’Amérique et changer le monde !"


A lire leurs diatribes sur Internet, les nouveaux électeurs manifestent aussi leur rancœur envers la sénatrice, à laquelle certains reprochent son vote, en 2002, en faveur de l’invasion de l’Irak. Obama, qui n’était à l’époque qu’un élu local de Chicago, a beau jeu d’assurer qu’il n’aurait pas trempé dans ce fiasco s’il avait été au Congrès.

Obama évoque désormais l’héritage de Martin Luther King, dans l’espoir de rallier, lors des prochaines primaires du Sud, un électorat noir toujours nostalgique des Clinton. Mais il ne trahit pas pour autant son credo consensuel, livré pour la première fois en 2004, lors de la convention démocrate de Boston – celui d’une nation ni noire, ni blanche, ni rouge conservateur, ni bleu progressiste, mais qui serait les Etats... Unis d’Amérique. "C’est une idée de génie, assure Sheinkopf. D’abord parce qu’elle reflète le ras-le-bol de la grande majorité des Américains devant le manichéisme de Bush. Ensuite parce qu’elle rappelle, sans le dire, à quel point Hillary Clinton divise, quant à elle, l’opinion."


La sénatrice de New York n’a pourtant pas dit son dernier mot. "La poésie est de mise pendant les campagnes, assure-t-elle. Mais on gouverne en prose." Obama, lui, ne démord pas de son slogan initial : "Le changement en lequel on peut croire."

vendredi 5 septembre 2008

FRANCE Vs RWANDA



Génocide rwandais: le rapport sur le rôle de la France remis à Paul Kagamé
16 nov. 2007

KIGALI (AFP) — La Commission rwandaise chargée d'enquêter sur le rôle de la France dans le génocide de 1994 a remis vendredi après-midi son rapport de 500 pages au chef de l'Etat rwandais Paul Kagamé, a indiqué à l'AFP le président de cette commission, Jean de Dieu Mucyo.

"C'est une compilation de 500 pages qui contient divers témoignages recueillis sur la responsabilité du gouvernement français dans le génocide de 1994", a précisé M. Mucyo.

"Nous avons achevé la première tâche et nous allons attendre que le président de la République se prononce sur la véracité de cette enquête pour enfin la rendre publique", a-t-il ajouté, précisant que le président rwandais devrait faire part de ses observations à la commission d'ici un mois.

Cette commission était officiellement "chargée de rassembler les preuves de l'implication de la France dans le génocide" au Rwanda en 1994, qui a fait, selon les Nations unies, environ 800.000 morts, parmi la minorité tutsie et les Hutus modérés.

En octobre et en décembre 2006, la commission, composée d'historiens et de juristes, avait organisé à Kigali des auditions publiques de témoins, dont des militaires de l'ancienne armée rwandaise, mettant en cause la France.

En février, le ministère français de la Défense avait dénié toute légitimité et compétence à cette commission qui envisageait alors de venir enquêter en France.

Kigali a rompu fin novembre 2006 ses relations diplomatiques avec Paris après que le juge français Jean-Louis Bruguière eut réclamé des poursuites contre le président Kagamé pour sa "participation présumée" à l'attentat contre l'avion de l'ex-président rwandais Juvénal Habyarimana le 6 avril 1994, qui a précédé le déclenchement du génocide.

Les relations entre Paris et Kigali ont toujours été tendues depuis le génocide. La France est notamment accusée par l'actuel gouvernement rwandais, dirigé par les Tutsis, d'en avoir entraîné et armé les responsables avant les massacres, ce que la France nie.

Début août, le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, s'était déclaré prêt à se rendre "au plus vite" au Rwanda, dès qu'"un certain nombre de choses seront aplanies".

Mais ce déplacement n'a pas pu se concrétiser jusqu'à présent

FPR UMURYANGO W'ABANYARWANDA




IJAMBO RYA NYAKUBAHWA PAUL KAGAME,

PEREZIDA WA REPUBULIKA Y'U RWANDA ,

KW'ISABUKURU YA CUMI NA KABIRI

YO KUBOHOZA IGIHUGU



Stade Amahoro, Itariki 04 Nyakanga 2006


Nyakubahwa Perezida wa Sena;

Nyakubahwa Perezida w'Umutwe w'Abadepite;

Nyakubahwa Minisitiri w'Intebe;

Nyakubahwa Perezida w'Urukiko rw'Ikirenga:

Ba Nyakubahwa Baminisitiri;

Banyakubahwa Basenateri;

Banyakubahwa Badepite;

Banyakubahwa muhagarariye Ibihugu byanyu n'Imiryango Mpuzamahanga;

Banyakubahwa Bakuru b'Ingabo na Polisi by'Igihugu;

Banyakubahwa Bashyitsi bacu;

Banyarwanda, Banyarwandakazi.



Mbanje kubasuhuza mwese, mbifuriza umunsi mwiza.

Bibaye inshuro ya cumi na kabiri twizihiza isabukuru yo kubohoza Igihugu cyacu.

Uyu munsi twibuka ibintu byinshi bikubiye mu kwibohoza kw'Abanyarwanda, mu kurwanya politiki mbi, kugira ngo kwibohoza bishoboke mu Rwanda .

Kwibohoza ngira ngo dukwiriye kubiha kumvikana ku buryo busobanutse.

N'izi ntwari z'uyu munsi tumaze guha impeta, mu bikorwa byabo bagize, bakwiriye kutwibutsa ibikubiye mu kwibohoza, n'inshingano zabyo.

Bikwiriye kumvikana ko Abantu baharanira kwibohoza kubera impamvu zitandukanye.

Ariko igikubiye muri uku kwibohoza kigaragara, ni uko Abantu baba batishimiye uko bariho, cyangwa se uko bayoborwa.

Abantu baba batabona ibyo bakwiriye, uko bakwiriye kuba bariho, ndetse no kubuzwa agaciro cyangwa ubuzima bibakwiriye.

Icyo bivuze ni uko abayobozi muri poliki bakurikiza baba basa n'aho bashobora guha, cyangwa bakima, Abantu uburenganzira bwabo.

Kuyobora Abantu neza no kugira politiki nziza ntabwo ari ukubagirira ineza, si ukubaha ‘favour'.

Kuyoborwa neza na politiki nziza ni uburenganzira bwa buri muntu, ntawe uhitamo politiki nziza nk'ineza agiriye abandi.

Abantu kugezwaho ibyo bakwiriye ni ngombwa, ntawabishimirwa abikoze. Niba umuyobozi atanyereje umutungo w'Abaturage, kandi nyine umutungo wose uva mu maboko y'Abaturage, si ukuvuga ko aba abagiriye neza.

Kutica Abaturage, ntabwo ari ukubagirira neza. Nta politiki yica ibaho, habaho politiki yo gukiza. Ubuyobozi butagira nabi, budakenesha cyangwa se butica buba bukurikiza inshingano zabwo.

Abo twavuga ko bagize neza mu bikorwa ni nk'abangaba b'Intwari bamaze guhabwa impeta kubera ibyiza bakoze birenze, bitagaragaraga nk'aho ari ubushobozi bwabo.

Kwibohoza rero bituruka kuko Abantu baba baravukijwe uburenganzira bwabo. Biharanirwa kuko Abayobora politiki baba batageza ku Bantu ibyo bagomba.

Birumvikana ko kwibohoza bigira inzego nyinshi. Hari ukwibohoza biva ku rugamba, nk'ibyakozwe na bamwe mu ntwari zimaze kubona imidari.

Hari ariko n'urundi rwego rwo guhindura amatwara, Abantu bakavanaho icyababuzaga amahoro cyangwa amajyambere; bakavanaho icyabashyiragamo amacukubiri cyangwa icyabicaga, nka politiki ya jenoside, n'ibindi; bakavanaho ikibabuza ubuzima bubabereye.

Ni nayo mpamvu no kuri uyu munsi hashyizwe imbere ibikorwa bigaragaza imibereho myiza, amajyambere n'ubukungu; ibikorwa bigamije kwerekana ko Abantu bose bafite uruhare mu kwitezimbere.

Ibyo byose bigaragaza ko kwibohoza ari urugendo rurerure, ko ari ibintu bikomeza, bihoraho. Kwibohoza ni ibintu biva ku rwego rumwe bikajya ku rundi, bikava ku rubyiruko rukura rugahereza urundi.

Ibintu biranga ubwiza bw'ubuzima bw'Abantu, uko bukwiriye kuba bumeze, bigakomeza, bigahoraho, si ibintu bitangwa nk'ineza, ngo ushaka abe yabyimana: bikwiriye kuba umuco.

Kandi birumvikana ko umuco w'Abantu kugira ububasha bwo kwiha ibibakwiriye, kwiha imbarag zo kubigiramo uruhare bakabyigezaho, bigira iteka abatabyumva, cyangwa ababirwanya.

Ni yo mpamvu urugamba ruba rufite intego yo kugira ngo hahoreho Abantu biganje bumva ko Abanyagihugu bagomba kugira ubuzima bwiza, ko bagomba guhabwa agaciro no kugira uruhare mu byo bigezaho bibafiye akamaro.

Abagira nabi, abumva nabi bagashyigikira politiki mbi, ntibabe ari bo biganza, nk'uko byabaye mu bihe byashize twabonyemo itsembabwoko, itsembabanyarwanda.

Ibyabaye byatumye u Rwanda rubura amajyambere ngo ruterimbere, kuko rwabuze n'abarwo, bakabaye bayarugezaho.

Banyarwanda, Banyarwandakazi;

Kwibohoza bijyanye n'insanganyamatsiko y'uyu munsi nabyo bitugaragariza ko utibeshejeho, ugitunzwe n'abandi, aba ataribohoza.

Nta kwibohoza kuri mu guhora Abantu basabiriza, kuko izi ntambara zose zirimo izi ntwari zitandukanye twabonye, ni intambara zigamije guhindura ubuzima bw'Abanyarwanda. Ni intambara zifite gahunda, ziharanira guha Abanyarwanda agaciro, bakibeshaho ntibasabirize.

Uru rwego rw'izi ntwari n'ibikorwa byazo, ni ibitwereka ko no kubaho tudasabiriza bishoboka. Ntiwarwana urugamba ushobora gutakazamo ubuzima nk'urw'amasasu benshi batakajemo ubuzima, udafite icyo ugamije kugeraho.

Ntiwatsinda urwo rugamba rw'amasasu, warahanganye na za burende, indege, ingendo z'ibirometero ibihumbi, utarya ngo ubone amazi, udafite icyo ushaka kugeraho.

Kandi niba umuntu atsinze urwo rugamba, kuki urundi rwamunanira?

Kunanirana byashoboka ari uko Abantu barugiyemo batumva ikibatwaye ku rugamba. Cyangwa se byaterwa n'uko Abantu barangije urwego rumwe rw'urwo rugamba bakibagirwa ko hari urundi rwego rw'urwo rugamba rugomba kubakira kuri iyo ntango.

Uru rwego rwa kabiri kandi, buri Munyarwanda agomba kurugiramo uruhare, yaba ayobora cyangwa ayoborwa. Ni urwego rw'urugamba rushingira ku kubaka mu bitekerezo, mu mvugo no mu bikorwa, kandi rugamije guha buri Munyarwanda agaciro.

Uru rwego rw'urugamba rukwiriye kutwumvisha ko nta muntu dusaba kutugirira neza, ngo niba atatugiriye neza turimbuke. ‘Liberation' ntibamo gusaba ‘favour', kwibohoza ni uguharanira uburenganzira bwawe.

Ruswa, amacakubiri, ubwicanyi, n'ibindi nk'ibyo, kutatubamo ntawe twabisaba, ni twe tugomba kumenya akamaro kabyo, tukabyiha. Niba ibyo tubyumvise, ukwibohoza kwacu kuzashinga imizi.

Banyarwanda, Banyarwandakazi;

Ndagira ngo rero mbasabe ko uyu munsi wajya utwibutsa ibyo byose, ahubwo ukanatuviramo ibitekerezo n'imbaraga byiyongereye, ndetse na bishya.

Ibyo nitubyumva, ndemeza ko imikorere yacu izarushaho kuba myiza, bigatuma tuzirikana ko inshingano zacu zitarangiye itariki enye Nyakanga 1994. Tukamenya ko icyo gihe hariharangiye urwego rumwe rw'urugamba, ubu harakomeza urundi narwo rukomeye, ndetse rwanagira uburemere burenze ubw'urwa mbere.

Nagira ngo kandi nibutse ko kugira ngo tugere ku ngamba zacu, dukwiriye kuzirikana ibikorwa biteganya ejo hazazaDukwiriye kureba amasomo y'u Rwanda rw'ejo hahise, tugakora tureba u Rwanda rw'ejo hazaza.

Ibi biradusaba kureba abana b'u Rwanda, urubyiruko, kuko aribo Rwanda duhanze amaso.

Ikindi nakwibutsa ni ukureba inzego dukoreramo, kuko izi nzego zikwiriye kureba inyungu rusange. Dukwiriye kumenyere ko iyo umuntu umwe avuye ku mwananya runaka bidakwiriye guhagarika ubuzima.

Icya gatatu nakwibutsa, ni ukumenya kwitanga, no kureba imbere. Umuntu ntiyirebe ku giti cye, azirikana inyungu ze bwite, bikunze kugaragara cyane cyane mu Bayobozi.

Mu gusoza, ndagira ngo nongere gushimira mwese mwibutse uyu munsi mukawitabiura. Uyu munsi kandi wikubiyemo iminsi ibiri, kuko ari bwo twibuka ubwigenge twabonye itariki ndwi Nyakanga 1962.

Nkaba nsaba ngo dushimire Abanyarwanda bose, ingabo z'u Rwanda hamwe n'inshuti zacu. Ndasba kandi ko Abanyarwanda tuzirikana gukora tugakomeza gutezimbere agaciro twaharaniye. Iyo ni yo nshingano y'ibanze ikubiye mu zindi nshingano zo kwibohoza.

Murakoze, mugire umunsi mwiza n'amahoro y'Imana.

mardi 26 août 2008